nom :hopkins prénoms :duncan,glenn pronoms :he/him naissance :15/03/2002 origine :lentek majeur :magie mineur :philosophie job :caissier à la boulangerie orientation romantique :very gay orientation sexuelle :super gay
i'm a fish inside a birdcage.
Tu te tiens là, les bras pliés à 90 degrés, mains pendantes au niveau de tes flancs, comme le fantôme que tu aimerais parfois être dans ce genre de situation. La foule n’a jamais été faite pour toi. Les odeurs se brouillant en un parfum trop fort, les les regards qui s’attardent trop longuement, le brouhaha des conversations qui se mélangent en un charabia incompréhensible. Puis la réalisation de ta propre position, embarras et les doutes sur ta façon de penser, de te tenir. Mains qui viennent se cacher maladroitement dans tes poches, une brume rosée sur tes joues.
On te trouve inapprochable, la plupart du temps. Peut-être que c’est ton regard, sondant froidement quiconque osant t’approcher qui intimide. Le temps d’observation dont tu as besoin pour savoir à qui tu t’adresses. Ce qu’on attends de toi. Le temps que tu t’adaptes à cette nouvelle présence. Peut-être trop longtemps pour certains. Mais pour ceux qui reste, Duncan, tu ne saurais jamais leur exprimer toute ta gratitude. Tu t’accroches aux plus socialement adaptés qui t’adoptent dans leur cercles. Cherche leur présence comme un chaton cherche sa mère.
Avec eux, tu es une autre personne. Un sourire chaleureux accroché à tes lèvres. Le réconfort d’une bougies sur son chevet un soir d’automne. Chaleur douce mais réconfortante. Calme mais brillante. Mais dont le moindre coup de vent trop brusque peut éteindre la flamme. Ton introversion te rattrape bien souvent. Qu’importe à quel point quelqu’un te rassure, à quel point sa présence peut te réjouir, tu fini inévitablement par fatiguer à leur côté. Et en cet exacte instant, ton visage se crispe, ton regard se brouille, et tu te sens lentement perdre le contrôle de tes réactions. Plus abruptes encore qu’à ton habitudes. Plus claires encore sur ton besoin de tranquillité.
Tes mots sont, il est vrai, souvent plus durs que tes actions. Et pas uniquement quand tu te protège de sarcasme des que tu te retrouves sur la défensive. Sous couvert d’honnêteté, d’impartialité, tes mots ne prennent que rarement en considération le ressenti de tes partenaires. Et tu ne ressens aucune forme de culpabilité s’ils blessent. Tu te flatte de cette rationalité qui est la tiennes. De ton stoïcisme. Et tu ne comprends, Duncan, pourquoi ces qualités sont si souvent réprouvés par tes paires.
Probablement que cette façon de faire découle de cette mauvaise habitude à la rationalisation excessive. Prenant toujours ce recul sur chacun de tes sentiments. Pas un mot plus haut que l’autre. Jamais un juron. Et pas la moindre place pour la sentimentalité.
Cette fierté mal placée en ton total stoïcisme mélanger à de mauvaises expériences et malaise social te rendent trop frileux pour les relations sérieuses. Pas question de se montrer vulnérable. De se laisser l’occasion de l’être. Et s’il t’arrive jamais de ressentir ce vide émotionnel, tu te convainc que la présence de ton chat aura le combler.
On a donc tendance à te penser modérer sur tes opinions. Et tu les fait aussi discret que possibles. Ça ne t’empêche pas de fulminer dans ton coin quand tu entends quelqu’un aller contre tes idéaux, mais il n’y a que peu de situations où tu te sentirais à l’aise pour débattre. Tu préfères fuir quand les sujets pouvant te toucher se présentent. Et pour que tu en arrives à sacrifier ta façade de calme pour prouver ton arguments, il faut te pousser loin dans les retranchements de ta patience. Et là, seulement là, est-il possible de voir ce à quoi tu peux ressembler sans brides. Éruption de colère sur tes traits. Et il est d’autant plus effrayant de voir que ton langage y est toujours maîtrisé.
Le contraste avec ton comportement habituel doit aussi être source de surprise. Tu es du genre à montrer ton affection par tes actions. Par des petites choses de la vie quotidienne. Le café chaud qui apparaît sur le coin des tables. L’odeur des cookies frais que tu partages si fréquemment. Les notes ajoutées dans la marge des cahiers de ses amis.
Tu fais de ton mieux pour être le confort que tu assures pour toi même. Appartement bien entretenu. Une esthétique minimaliste mais relaxante. La fragrance du café dans ta cuisine, la douce odeur des bougies parfumées, la fraîcheur des plantes vertes couvrant bibliothèques et pans entiers de murs. La douceur des plaids sur le sofa. Le ronron de Pelote sur le lit.
Cette atmosphère relaxante, tu ne s’en sépare jamais vraiment. Quelque soit ton accoutrement du jour, et malgré ta tendance à porter des tenues formelles, tu s’efforces d’ajouter quelques forme de lainage pour te sentir à l’aise. Tu évites les couleurs trop voyantes, paré de camaïeux de beige, marrons ou olive. Tu maintiens des tons naturels maintenant un air coordonné à ses tenus. La parfaite manière, selon toi, de dissimuler ton général manque de soin dans ton apparence.
On te croit équilibré. Stable. Juste peut-être un peu trop retranché sur toi-même. Mais tu ne cesse de passer d’un extrême à l’autre. Obsédé par l’organisation, replaçant chaque élément de décor à sa position exacte, incapable de supporter le moindre changement dans ton planning. Puis, tout à coup, désordonné, accablé par tes propres attentes, ton propre emploi du temps. Tu ne vis pas sans une routine pour te maintenir dans les rails, et pourtant rien ne semble facilement s’inscrire dans tes habitudes. Tu ne supporte ni la hiérarchie, ni quelque forme d’autorité. Qu’on te dise quoi faire, et on peut être certain de te voir faire l’inverse. Pourtant, Duncan, personne n’a plus besoin que toi de directions claires et précises. De détails sur les procédures pour suivre ce qu’il se passe.
L’alcool ne te mène rarement à plus de spontanéité. Malgré ta petite carrure, il te faut plus que quelques verres pour commencer à sentir l’effet de la boisson et sa tendance à te délier la langue. On pourrait alors t’entendre te plaindre du fait que tu ne prend jamais en muscle, malgré tes huit années de course relai au compteur. Du son de ta voix dont tu ne supporte pas la tonalité nasillarde. De l’impasse professionnelle de la majeurs en magie et mineur de philosophie. Ou dans les bons jours, te voir s’accrocher au bras de ses partenaires de beuverie.
Mais ces instances sont peu fréquentes. C’est le café qui coule dans tes veines. Peut-être plus même autant que l’hémoglobine. Caféine qui te maintient éveillé jusqu’au premiers rayons de l’aube. Qui te donne toutes les occasions à tes yeux cernés de s’attarder sur la beauté du ciel étoilé, et de laisser ta peau baigner sous les rayons de la lune, les feuilles d’un recueil de poésie sous les doigts.
Les arts ne retiennent pourtant que rarement ton intérêt, mais le gros de ton temps libre est dédié à la lecture. Tu lis beaucoup d’essais, en rapport avec ton domaine d’études… ou pas du tout. Si la philosophie reste le principal sujet, la curiosité te mène bien souvent d’un bout à l’autre de la bibliothèque centrale. Tu aimes pouvoir couvrir un large éventail de connaissances, Duncan. Parce que tu aimes pouvoir faire des connexions entre des thèmes éloignés. Ça t’aide a comprendre les choses plus clairement, dis-tu. Mais quand cela devient trop sérieux, trop scolaire, tu as tendance à abandonner. Tes années de piano, dans ton enfance, en sont un exemple très concret.
Et le reste du temps, Duncan, tu es au fourneaux. Marise au bout des doigts remplissant un fond de tarte à la douce odeur d’amandes, ou les mains prises dans la pâte à pain. Il y a quelque chose avec la pâtisserie. Les odeurs, peut-être. La précision de
there's a world where i can take flight.
Et le reste du temps,Duncan,tu es au fourneaux. Marise au bout des doigts remplissant un fond de tarte à la douce odeur d’amandes,ou les mains prises dans la pâte à pain. Il y a quelque chose avec la pâtisserie. Les odeurs,peut-être. La précision de. Et le reste du temps,Duncan,tu es au fourneaux. Marise au bout des doigts remplissant un fond de tarte à la douce odeur d’amandes,ou les mains prises dans la pâte à pain. Il y a quelque chose avec la pâtisserie. Les odeurs,peut-être. La précision de
a fact - a second fact - maybe a thrid one. - what about one more - ok,once again - a fact - a second fact - maybe a thrid one. - what about one more - ok,once again - a fact - a second fact - maybe a thrid one. - what about one more - ok,once again - a fact - a second fact - maybe a thrid one. - what about one more - ok,once again - a fact - a second fact - maybe a thrid one. - what about one more - ok,once again - a fact - a second fact - maybe a thrid one. - what about one more - ok,once again - a fact - a second fact - maybe a thrid one. - what about one more - ok,once again - a fact - a second fact - maybe a thrid one. - what about one more - ok,once again -
observation
je ne sais pas tout à fait ce que l'effet sera, mais on l'écrira ici. en quelques phrases,quelques mots même. voir un peu plus juste par sécurité,au cas ou.
hello c meri. your local nerd. askip j'admin ici. she/her. 29. into
Votre 1er sujet
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum